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 Abbadon ∆ On trace son propre chemin, ce sont nos valeurs ainsi que nos actes qui définissent ce qu’on est.

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MessageSujet: Abbadon ∆ On trace son propre chemin, ce sont nos valeurs ainsi que nos actes qui définissent ce qu’on est.   Abbadon ∆ On trace son propre chemin, ce sont nos valeurs ainsi que nos actes qui définissent ce qu’on est. EmptyMar 29 Sep - 17:56


Il n’y a pas de secrets dans la vie, seules des vérités cachées qui reposent sous la surface.

Abbadon Winchester

nom complet ▽ Abbadon Winchester surnom(s) ▽ Abba âge ▽ 22 ans date de naissance ▽ 11 septembre lieu de naissance ▽ Moscou origine(s) ▽ Russe et Américaine nationalité ▽ Russe orientation sexuelle ▽ Bisexuelle statut social ▽ Moyen statut civil ▽ Compliqué métier/études ▽ Etudiante en médecine et serveuse dans un bar. Douce, Intelligente, Fidèle, Têtu, Maladroite, Courageuse, Sensible, Jalouse,   ▽ écrire ici groupe ▽ Croustillon avatar ▽ La sublime Nina Dobrev




pseudo/prénom ▽ Catblack âge ▽ 19 ans sexe ▽ Femme pays/région ▽ Seine et marne ! France. comment as-tu connus le forum? ▽ Car c'est notre bébé ! une proposition/suggestion? ▽ Aucune ! Pour le bottin
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[center][color=#FF0000]♦[/color][b]Nina Dobrev[/b] - [i]Abbadon Winchester[/i][/center]


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MessageSujet: Re: Abbadon ∆ On trace son propre chemin, ce sont nos valeurs ainsi que nos actes qui définissent ce qu’on est.   Abbadon ∆ On trace son propre chemin, ce sont nos valeurs ainsi que nos actes qui définissent ce qu’on est. EmptyMar 29 Sep - 17:57


C’est dans notre nature de garder des secrets sur notre vie. Nous le faisons tous.

J'étais née il y a maintenant vingt-deux ans d'un père avocat et d'une mère avocate. Ils se sont rencontrés durant le voyage de ma mère. Elle était partie quelque moins aux États-Unis pour exercer son métier là-bas et c'est à ce moment-là qu'ils se sont rencontrés. Au début, il sortait prendre quelque verre ensemble et puis ils ont fini par sortir ensemble. Ils étaient extrêmement amoureux l'un de l'autre. C'était d'ailleurs pour cette raison que mon père a décidé de suivre ma mère en Russie après son départ. Ils ont vécu trois ans ensemble avant de décider de faire un enfant du nom de Dylan mon frère aîné. Trois ans plus tard, c'était à mon tour de venir pointer le bout de mon nez. Mes parents étaient aux anges, ma mère avait toujours désiré avoir des enfants et voilà que son rêve s'était réalisé. Dylan a toujours été un frère très protecteur avec moi, nous étions extrêmement soudés l'un à l'autre. Je savais que si j'avais besoin de lui pour parler ou que j'avais un problème, il serait toujours là et c'était la même chose pour lui.

Nous avons grandi et mon frère a pris un chemin complètement différent du mien. Nous étions toujours aussi proches, mais il y avait quelque chose de diffèrent entre nous. Il ne fréquentait pas de très bonnes personnes et faisait souvent des bêtises qui l'emmenaient au poste de police. J'essayais de faire comprendre à mon frère que ce n'était pas bien et qu'il pouvait lui arriver quelque chose de grave, mais il était extrêmement têtu. Tandis que mon frère ne voulait rien écouter, je décidais de poursuivre les études pour devenir médecin. J'avais toujours adoré ce métier, il m'avait toujours passionné et j'étais bien décidée à finir mes études et être le médecin le plus reconnu du pays. J'avais donc décidé de quitter la Russie pour venir m'installer à Bruxelles où une très grande université m'avait accepté. J'étais tellement heureuse de venir étudier là-bas, mais j'étais aussi très triste de quitter ma famille. C'est avec le cœur serré et les larmes aux yeux que je m'étais envolée vers Bruxelles.

Voilà quatre ans qui s'étaient écoulés entre mon départ de Moscou et Bruxelles. Je m'étais très bien adaptée et j'arrivais maintenant à parler la langue couramment avec un accent russe très prononcé. Malheureusement, ma vie a pris un tournant extrêmement catastrophique pour moi. J'avais appris que mon frère avait été emprisonné peu de temps après mon départ et qu'il venait juste de sortir de prison. Ma mère avait eu un accident de voiture et était morte sur le coup. Tout ceci était trop pour moi. J'étais donc revenue voir mon père pour l'enterrement de ma mère et avait fait un serment à mon frère que j'avais du mal à reconnaître. Bien évidemment, il était toujours aussi têtu. J'étais restée avec mon père et lui avait demandé de venir habiter avec moi à Bruxelles, mais il ne voulait pas. J'étais donc repartie vers Bruxelles avec une boule au ventre. Je n'avais aucune envie de laisser mon père tout seul, j'avais peur qu'il fasse une dépression et qu'il décide de faire le pire. Mais il m'avait promis de m'appeler tous les jours, ce qui me rassurais un peu. J'avais demandé à mon frère de faire attention à lui. J'avais donc repris les cours à l'université et j'avais essayé de surmonter tout cela et de retrouver une vie normale. Mais je n'avais jamais eu l'impression que ma vie allait être normale. Il était tard le soir et je rentrais du bar où je travaillais pour pouvoir subvenir à mes besoins. C'est à ce moment-là qu'une fourgonnette noire, c'était approché de moi et que des hommes vêtus de noir avec des cagoules m'avaient attrapé et jeter à l'intérieur du fourgon. Je m'étais débattue et avais crier tout ce que je pouvais, mais c'était perdu d'avance, je ne pouvais rien faire. Le chef du gang m'avait fait les pires choses, il m'avait battu pour me faire parler de ce que mon frère leur devait et il m'avait aussi violé. J'avais des cicatrices dans tout le dos à cause de coups de fouet. Mon corps avait été détruit par se lâches ! J'avais payé pour ce que mon frère avait fait. Je ne savais pas combien de temps tout ceci avait duré. Je n'avais plus la notion du temps, j'avais tellement peur de mourir. Mais heureusement que la police est arrivée, j'avais été sauvée, mais pas sans dommage. Je me souviens du regard de ce policier comme si c'était hier. Je pouvais lire dans son regard, qu'il était désolé pour ce qu'il s'apprêtait à faire, mais il était obligé. Pour pouvoir tuer l'homme qui me retenait prisonnier, il devait aussi me toucher d'une balle. Je lui avais donné mon accord et avais fermé les yeux, une larme avait coulé le long de mon visage. Je ne me souvenais plus du tout de la suite, c'était comme un trou noir, jusqu'à cette fameuse journée où j'avais décidé de rouvrir les yeux après quatre mois de coma. Le premier visage que j'avais vu était celui du policier qui m'avait sauvé la vie.



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